En triant les archives de Founoune, j’ai retrouvé le catalogue de l’exposition “Le Sang des Ombres”, du trio Salah Hioun, Arezki Larbi et Kamal Yahiaoui, qui s’est tenue à la galerie d’Art Étincelle en 2007. Le titre est très énigmatique, d’autant plus qu’aucune préface ne figure sur le catalogue, sachant …
LireL’ENTRE VUE & NOUS : AMEUR Hachemi, le militant infatiguable de l’art.
Hachemi Ameur, est un artiste incontournable de la scène artistique Algérienne, infatigable initiateur d’événements culturels qui ont fait de Mostaganem un pôle culturel sans précédant. Porté par un enthousiasme et une volonté constante, l’école régionale des beaux arts de Mostaganem a rayonné sur les arts visuels algériens durant son mandat …
LireNoureddine Ferroukhi lègue à l’Algérie ses caresses du sensible par Saâdi-Leray Farid
Décédé à Marseille le mercredi 03 avril 2019 suite à une longue maladie, Noureddine Ferroukhi n’a pu partager les vendredis joyeux de millions d’autochtones descendus battre le pavé et redevenus par là même ces Citoyens de beauté que le poète Jean Sénac interpellait en 1967, année lors de laquelle Choukri …
Lire« Alter Ego » Arezki Larbi expose à l’Espaco (Oued Tarfa), Alger
Surprenante apparition, quasi fantomatique, toujours en mouvement, Arezki Larbi est un des artistes les plus discrets de la sphère de cristal de l’art algérien. Il a marqué les années 1970, 1980 et même 2000 par une présence régulière de par le nombre d’événements, d’idées, d’attitudes conceptuelles qui bouillonnent dans sons …
Lire1ère partie : Il y a 15 ans, préparation de l’Année de l’Algérie en France par Mansour Abrous.
J’ai qualifié « L’Année de l’Algérie en France » de « l’Algérie du garde à vous ». J’avais la conviction qu’elle profitait exclusivement aux intercesseurs du sérail, aux soldats du pouvoir et aux voltigeurs de la servitude. Je m’insurgeais contre cette manifestation, en invitant à décréter un droit à l’indifférence, …
LireNADİA SPAHİS : CHRONİQUES HİSTRİONİQUES ET PATHOLOGİQUES DU NON-RENONCEMENT AU CORPS par Saâdi-Leray Farid
C’est à la fin d’une décennie 80 marquée par la réduction croissante du seuil de tolérance à l’égard des passions humaines et amoureuses, que Nadia Spahis étoffait un registre pictural centré sur la réciprocité entre l’enclos du sensuel et son dehors, projetait, par là même, le regardeur dans la fuite …
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