“Par le fait que la peinture monumentale est un art de l’architecture ; peut-on les penser séparément et parler d’indépendance de l’une par rapport à l’autre ? Pourquoi à certaines périodes de l’histoire, de l’Antiquité au début du XXe siècle, s’est-elle associée à l’architecture ? La recherche bibliographique sur sa …
Lire60 ans de création, Mustapha Adane invité de la Galerie Bloom.
“Fils de la Casbah, Mustapha Adane est un artiste du peuple par indifférence et peut être par goût… Sculpteur, céramiste, designer, architecte d’intérieur, dessinateur, peintre, caricaturiste, spécialiste des émaux sur cuivre, concepteur et graveur de médailles et de la clef de la ville d’Alger.. Du figuratif à l’abstraction en passant …
LireLes peintres algériens, la génération du moment moderne.
Si l’engagement et la dimension politique des œuvres des écrivains algériens sont l’objet de nombreuses études depuis longtemps, -Lacheraf avait parlé de « Littératures de combat »(1)-celles des artistes sont moins connues. L’itinéraire des peintres algériens les plus célèbres peut être retracé au travers des éléments biographiques accompagnant les catalogues …
LireMansour Abrous : le chercheur esthète
« Acheter, conserver des œuvres d’art et constituer des collections. La constitution du patrimoine national exige une présence, une vigilance, une prospective, un investissement sans relâche. Je crains que faute de politique d’acquisition sereine ou agressive, des séquences entières de notre histoire contemporaine soient menacées, absentes des collections nationales pour …
LireESBA : Plaidoyer pour l’intégration du LMD à l’école supérieure des beaux-arts par Mansour Abrous
Le 13 juillet dernier, le ministre de la Culture donne une conférence “Quelle langue le monde parlera en 2100 ?”, à l’université de Taïf, en Arabie Saoudite. Nous lui demandons plus modestement quelle rentrée universitaire 2017-2018, ses services peuvent-il assurer, demain, aux étudiants de l’École des beaux-arts d’Alger et des …
LireIl y a 15 ans, préparation de l’Année de l’Algérie en France (3e partie et fin) par Mansour Abrous
Le contenu de la manifestation : Le 10 février 2002, le 1er président du commissariat de l’Année de l’Algérie en France, cite, au titre des projets retenus, les projets labélisés « arts plastiques ». La présence des arts plastiques se fait dans trois volets, la peinture et la sculpture, le …
Lire2ème partie : Il y a 15 ans, préparation de l’Année de l’Algérie en France par Mansour Abrous
Les enjeux et le dispositif organisationnel : La décision d’organiser en 2003 une « Année de l’Algérie en France » a été prise par les deux chefs d’État, français et algérien, lors de la visite de ce dernier en France en 2000. Le comité national et le commissariat général chargés …
Lire1ère partie : Il y a 15 ans, préparation de l’Année de l’Algérie en France par Mansour Abrous.
J’ai qualifié « L’Année de l’Algérie en France » de « l’Algérie du garde à vous ». J’avais la conviction qu’elle profitait exclusivement aux intercesseurs du sérail, aux soldats du pouvoir et aux voltigeurs de la servitude. Je m’insurgeais contre cette manifestation, en invitant à décréter un droit à l’indifférence, …
LirePerformance en signalétique, performers en indignité par Mansour Abrous
L’Institut national supérieur de musique, sur instruction du président de la République , sera baptisé, du nom d’un artiste égyptien, compositeur de la musique de l’Hymne national algérien. Le ministère de la culture est étranger à cette décision. Il est par extension étranger à la culture dans son acception politique, …
LireCulture Algérie : “La stagnation circulaire” par Mansour Abrous
Le gouvernement, ces frères en échec, n’a pas de feuille de route. Il cultive la sortie de route. On mesure ce qu’il a fallu d’audace à leurs prédécesseurs, et encore aujourd’hui de persévérance au ministère pour faire de la Culture ce qu’elle est aujourd’hui : des finances exsangues, des infrastructures …
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