L’article de Bernard Michel-Georges “Escales au Pays de la lumière, la peinture d’Aksouh” a été publié en 2005 sur la revue: Horizons Maghrébins – Le droit à la mémoire. Aksouh fut l’invité du numéro N°52 titré : La francophonie arabe : pour une approche de la littérature arabe francophone, sous …
LirePartie 2 : L’introvertie BAYA, figure de l’art comparable et dissemblable à la subversive NİKİ par Saâdi-leray Farid
Le galeriste et donateur Claude Lemand, l’un des trois commissaires de l’exposition Baya, femmes en leur Jardin. Œuvres et archives, 1944-1998, visible à l’İnstitut du monde arabe (İMA) jusqu’au 26 mars 2023 (puis ensuite au Centre de la Vieille Charité de Marseille), mentionnait au sein du webzine Mondafrique du 05 …
LireDenis Martinez, chaînon médian de la peinture algérienne et de sa trame historico-mnésique par Saâdi-Leray Farid
Les accents ibériques de la Méditerranée ont longtemps ponctué la gamme idiomatique de l’Oranie et, très top à l’écoute des phonèmes du terroir plébéien, Denis Martinez combinera leurs sonorités séculaires au langage citadin ; opérant au milieu de la décennie soixante comme mises en garde, mots d’ordre de conscientisation ou …
LireL’aspect ambivalent de la dénomination “Statut de l’artiste” par Saâdi-Leray Farid.
Lorsqu’il obtenait, le 04 janvier 2020, le poste de secrétaire d’État chargé de la production culturelle, Salim Dada présidait toujours (et depuis mars 2019) le Conseil national des Arts et des Lettres (CNAL), une structure occupée à stimuler les traditions ou locutions plébéiennes du patrimoine culturel, à encourager les talents …
LireNADİA SPAHİS : CHRONİQUES HİSTRİONİQUES ET PATHOLOGİQUES DU NON-RENONCEMENT AU CORPS par Saâdi-Leray Farid
C’est à la fin d’une décennie 80 marquée par la réduction croissante du seuil de tolérance à l’égard des passions humaines et amoureuses, que Nadia Spahis étoffait un registre pictural centré sur la réciprocité entre l’enclos du sensuel et son dehors, projetait, par là même, le regardeur dans la fuite …
LireL’art algérien existe-t-il ? par Françoise Monnin (2003)
«Dès qu’un homme commence à peindre, il perd sa nationalité, répète à l’envi Abdallah Benanteur, peintre né en 1931 à Mostaganem, et installé depuis tout juste 50 ans à Paris. Il est temps qu’on le sache. Ceux qui se disent peintres algériens sont victimes de leur ignorance. Un peintre ne …
LireAli Marok (Algérie), le berger-photographe.
Photographe à la notoriété internationalement établie, Ali Marok considère l’irruption du numérique avec un enthousiasme lucide. L’auteur de nombreux albums, dont ceux somptueux sur La Casbah d’Alger et sur la Kabylie avec le regretté Tahar Djaout, croit que le triomphe de la technologie a changé la conception de son métier. …
LireJe suis né en enfer par Youcef Sebti
” Je suis né dans l’enfer J’ai vécu dans l’enfer Et l’enfer est né en moi Et dans l’enfer Sur la haine-ce terreau qui flambe- Ont poussée des fleurs. Je les ai senties Je les ai cueillies Et en moi a circulé L’amertume et de moi s’est saisie L’amertume. Arrêt. …
LireKAMEL DAOUD : UN RÉVÉLATEUR MALGRÉ LUİ, MALGRÉ TOUT par Saadi-Leray Farid.
Lorsque l’on plonge une pellicule photographique (noir et blanc) dans une solution réductrice, ses grains réagissent à la lumière, se transforment en argent métallique et donnent naissance à l’image. Stoppé par un second bassin d’arrêt, ce révélateur sera ensuite figé par une troisième action qui désensibilisera le film de manière …
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